3ème partie : Où i’ va, lui ? Les paradis perdus 1973
Au fond du mix, comme toujours—il faut toujours écouter ce qu’il y a au fond du mix chez Christophe—il y a ce pied de grosse caisse qui marque le tempo comme un petit cœur qui bat. Puis viennent les nappes (ARP 2600) qui durent un peu, et puis la voix, Christophe en dandy un peu vieilli (il a trente ans, autant dire à l’époque que c’est un vieux crouton, Reviens Sophie, son premier 45t a dix piges tout de même), puis arrivent le piano et la voix de crooner. Mais nous parlons de la version album ici, et à 4’30, fin de fade out pour la version single et déflagration sonore de la guitare de Patrice Tison qui déchire l’écrin de soie rose pour permettre au Brummell de Juvisy de faire son Petit Richard, de feuler son Awopbopalobopawamabamboo et de faire revivre, tel un Milton de l’Essonne, ses paradis perdus.
Mais rien ne nous dit où il allait, morose, dans sa veste de soie rose…
Une réflexion sur “Le Dernier des Bevilacqua ou s’il n’en reste qu’un…”