7ème partie : Christophe Sapeur ? La Dolce Vita 1977 – Succès fou 1983 – J’l’ai pas touchée 1984
Bah oui. Les paradis perdus et la veste de soie rose nous mettait sur la piste : chez Christophe, le staïle a de l’importance. Sur les trois chansons qui nous intéresse, il erre en vespa (déjà véhicule de sa fuite dans le Dernier des Bevilacqua—où il arborait un complet droit et revendait « ses chaussures, sa villa pour quelques revers au baccara » ce qui laisse imaginer le standing des pompes) et gilet de satin, fait pleurer les filles sur le revers de son smoking blanc cassé, met des gants blancs, se promène sous un ciel azurée sans avoir mis de veste : cette dernière indication résume toutes les autres : le jour de J’l’ai pas touché, il n’a pas mis de veste, c’est même à cela qu’on reconnait ce jour précis. On peut aussi aller chercher la robe de taffetas de Señorita. Chez Christophe, l’étoffe est essentielle.
Il y a bien un sapotropisme chez Christophe. Alors, Christophe, sapeur ?