T’es rock, coco !, 1962
Comme la plupart de ses congénères chanteurs français du début des années 60, Léo est un brin méprisant, un poil condescendant face à l’arrivée du rock’n’roll. Il faut le comprendre, il a 46 ans et les yéyés, ça le fait marrer. Alors il dégaine l’orchestration la moins rock’n’roll possible et se lance dans une de ces diatribes dont il a le secret, enquille les images et balance en fin de chapitre un « t’es rock, coco » (jeu de mots) où l’on imagine sans mal la moue dédaigneuse du bonhomme coutumier du fait.
Une réflexion sur “Pour saluer les cent ans du vieux lion #8”