Les frères Jacques :
« Une page se referme sur l’un de nos plus grands quatuors vocaux de l’après-guerre », a regretté la ministre de la Culture Audrey Azoulay. Faut dire que c’est pas bien dur, ils étaient 2, les « grands quatuors vocaux »: Les 4 Barbus (les qui ? ) et les frères Jacques qui enluminèrent les répertoires de Gainsbourg, Brassens, Prévert ou Francis Blanche de leurs inénarrables mises en scènes avec leurs collants, leurs spencers et leurs galures. Ça y est, ils dorment tous, le glas a remplacé les mâtines. Une page de l’histoire de la chanson francophone qui se tourne (et non « se referme », on ouvre un livre, rarement une page ou bien avec une lame fort aiguisée et de bons yeux). C’est Fred Mella qui flippe…