On a pris un Best Of tout simple (ou peut-être était-il double?) de Georges B. et on ne parlera ici que des chansons qui n’y figurent pas, en trichant un peu, parfois, parce que, comme c’est nous qui faisons les règles, on peut les transgresser un peu.
Le vent, 1953
Georges est un poète, il adopte la forme de ce qu’il décrit. Parlant du vent, il souffle une brise légère d’1’17 » qui soulève les jupes des femmes et ôte les chapeaux des imbéciles. Inutile d’être plus pesant que lui.
Mais on peut aussi en donner une interprétation différente. Ce qui est plutôt rare avec l’œuvre de Georges tant son rythme interne est essentiel. Tout se tient, paroles et musiques. Écoutez les reprises de Brassens, 99% sont un décalque plus ou moins heureux de l’original…