On a pris un Best Of tout simple (ou peut-être était-il double?) de Georges B. et on ne parlera ici que des chansons qui n’y figurent pas, en trichant un peu, parfois, parce que, comme c’est nous qui faisons les règles, on peut les transgresser un peu.
La Marine, 1953
Georges est né dans un port, il était donc naturel qu’il nous fasse une chanson de marins. Et dans les chansons de marins, on parle soit de la bibine soit des filles, voire des deux. Le poème de Paul Fort (puisque c’en est un) se concentre sur les filles, et la mélancolie des rencontres rapides. Georges en mélodiste aguerri en fait une valse propice à la nostalgie des amours perdues.