Bijou, bijou (1979)
« Bijou, Bijou, le temps, ça pourrit tout », grand blues désespéré, empli de « mégots écrasés n’importe où », Bijou, bijou est l’une des rares chansons de l’album Roulette Russe que Bashung reprendra sur scène jusque dans les années 2000. Faut dire que c’est un sacré titre, une grande « chanson pour pleurer dans sa bière ». On est une fois de plus au cœur de la lose, dans l’appart de son ex, il fera pas de bruit « juste un café et c’est tout », pas la peine qu’elle se réveille, comme sur la pochette de Roulette Russe. Après il partira pour on sait pas où. En fait, il accostera à Gaby, et l’histoire telle qu’on l’écrit commencera enfin pour Alain.