Gaby, Oh Gaby (1980)
Et là, c’est l’explosion. Le Bashung qui rame depuis une bonne grosse décennie et demie fourgue presque un million de son vrai 45t de la dernière chance. On l’ajoutera au nouveau pressage de Roulette Russe où ses bidouillis éclectro feront un peu tâche au milieu de l’ambiance rock anglais de l’album. 2 chouettes trucs pour briller en soirées :
- les deux derniers vers auraient été ajoutés par Bergman in extremis : Alors que Bashung s’absente pour aller aux toilettes, Bergman griffonne sur le pupitre : « Il m’avait demandé d’ajouter des phrases pour la fin, j’ai décidé d’écrire des conneries pour le faire rire. Je m’attendais à ce qu’il bute sur À quoi ça sert la frite si t’as pas les moules, mais il l’a chantée avec un sang-froid incroyable », dira plus tard le parolier (Olivier Nuc « Gaby oh ! Gaby d’Alain Bashung »)
- Johnny Kidd ! Mec, un type cite Johnny Kidd !!!!
Finalement, c’est un peu Louis Fine et Matt Malin réunis, ce blog, non ? J’ai pas trouvé Patti Smith, c’est normal ?
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