Je vends des robes (1969)
Sous des dehors de chansons « classique » de Nino Ferrer, Je vends des robes est comme un point final aux sotties qui l’ont rendu célèbre. Nino craque. L’accumulation quasi surréaliste, c’est son truc, son style, sa patte, mais là, tout part en eau de boudin. Comme il le hurle à la fin « et ça fait trop longtemps qu’ça dure et y’en a mare, marre, marre, marre, marre ». Lui il aurait voulu vivre à la campagne, et il va bientôt partir…
Bien sûr la dimension tragique, l’aspect nervous breakdown n’a pas été saisi par tout le monde…