2017 restera l’année noir du ouokènouol (et c’est pas fini) (on pense bien à toi, Petit Richard…).
Malcolm Young (1953-2017)
Si Angus déchainait l’enfer (hell), Malcolm, c’était l’autoroute (highway) ! Campé près de la batterie, sur ses deux guibolles écartées, la même tête que son frangin avec une coupe de joncs j’en ai marre d’la life, Malcom alignait les 3 accords des riffs diaboliques ACDCiens sur sa Gretsch Jet Firebird avec une régularité métronymique de machine de guerre du ouokènouol et du gros boogie qui tache. Il était la fondation, le mur porteur de granit sur lequel son frangin démoniaque pouvait enchainer les motifs en stucs pendant des plombes. Guerrier de l’ombre du ouokekouol, tu retournes à l’ombre, Malcolm. Rock In Peace (comme dit Angus).
(pendant la première minute, Angus ne joue pas. L’intégralité de la touffeur riffienne de cette minute est dûe à Malcolm)