Quand le même titre résonnait de campings en buvette, de fêtes votives en radios périphériques…
Aline, Christophe, 1965
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, cela n’a rien à voir avec une quelconque obsession pour le dernier des Bevilacqua, c’est juste qu’Aline est le premier tube de l’été historiquement, et qu’il ne le fut pas seulement en France, mais aussi en Espagne, en Turquie ( ?), en Belgique, en Israël ( ??) et au Brésil ( ???), assurant du quasi premier coup (le vrai premier est là) la place du Beau Bizarre au sein de la pop hexagonale. Place confirmée par la ressortie tel quel du single 15 piges plus tard sans y changer une corde de violon, un voix dans les choeurs, sans remix, ré-enregistrement, qui ira de nouveau se classer en tête des ventes.
On récapitule : Aline, premier tube de l’été, succès planétaire (puisqu’intercontinental), puis, 15 ans plus tard, à nouveau tube de l’été, 3,5 millions d’exemplaires vendus. C’est ainsi que Christophe est grand !