La Solitude, 1971
Ca y est, Léo est pop, complètement pop, avec les Zoo derrière, le talk over, les imprécations. Crinière blanche au vent, Celtique au coin des lèvres, il se libère de tous les carcans : format de la chanson, label, orchestrations. Il est libre Léo.
Après ce seront les années d’autonomie totale au cœur de la Toscane, il s’adonnera à l’imprimerie en amateur, et sera le seul juge de son testament phonographe. Allant parfois jusqu’à une auto-indulgence grandiloquente. Adaptant encore et toujours les poètes. Avant de s’éteindre un 14 juillet. Dernière blague de celui qui n’avait ni Dieu, ni Maître