Mais c’est Nick Drake : Five Leaves Left, 1969
Et Nick Drake c’est tellement bien que j’ai même pas taillé dans l’album pour y trouver le meilleur morceau, y’en a pas, tout est fabuleux, et, même, si j’avais pu cloquer ses trois albums et la poignée d’inédits posthumes de ce grand jeune homme doux mort trop tôt, et ben je l’aurais fait !
Ceci dit, on pourrait parler des heures de son picking, de ses accordages ouverts, de ses mélodies, même de ses textes, voire de ses arrangements, mais il me semble qu’ajouter autre chose serait superflu.